Sardequin, piqure de rappel

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Une petite piqure de rappel, Sardequin, pseudo, titre de ce blog et surtout excellent roman de Philippe Monot. Le livre 1 et la suite Guerre et Fées attendent la suite. Mais l'écriture n'est pas un long fleuve tranquille. En tout cas, je souhaite à Philippe de prendre le temps de nous concocter une troisième partie aux petits oignons. Et moi, je vais sans doute prendre le temps de relire les deux premiers livres (bon, après avoir terminé le Bordage bien sur).

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Relance or not relance ?

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Bon, histoire de faire plaisir à mon fils, histoire de voir si un autre qu’Arnold pouvait incarner Conan, et surtout, histoire de voir si enfin Robert E Howard allait avoir un film à la hauteur de son personnage et de ses histoires, je suis allé voir cette dernière mouture de Conan.  Autant être clair, ce n’est sans doute pas le film de l’année, ni même de la décennie. Ce n’est sans doute pas ce film qui va donner enfin le Conan que l’œuvre de Howard mérite. Bien sur, l’acteur, Jason Momoa n’est pas indigne. On peu même penser qu’il s’en sort plutôt pas mal, et qu’il peut faire de l’ombre à Arnold (désolé, mais son nom de famille est trop chiant à écrire). Mais, ce qui ne fera pas d’ombre, ni aux histoires d’Howard, ni au premier film de John Milius, c’est le scénario. Pourquoi ? Parce qu’il n’y en a pas ! Enfin, ne soyons pas médisant. mais l'histoire tient sur une feuille de papier à cigarette. Le méchant, il va massacrer tout le village de Conan, et tuer son papa. Et Conan
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